Après 3 semaines en Guadeloupe, nous débarquons au Costa Rica ! Au programme de ce premier carnet de voyage : San José, la capitale puis une rando éprouvante du côté de La Fortuna et enfin la cloudforest de Monteverde.
Bienvenidos a San José ! Taxi ?
Après deux jours de voyage qui nous ont fait passer quelques heures à New York (ne cherchez aucune logique là-dedans) nous posons nos pieds pour la première fois sur le sol Costaricien aux alentours de 11h du matin le mardi 22 mars. Nos gros sacs sur le dos, sans carte ni réservation d’hôtel, nous devons réussir à trouver notre chemin vers le centre-ville de la capitale San José, y trouvez un endroit où dormir ainsi qu’un lieu pour manger ! Oui parce que les vols pas chers n’ont de bien que le prix…. Tout est payant là-dedans, on ne peut même pas avoir un paquet de cacahuète. Alors bon, on prend son mal en patience.
A la sortie de l’aéroport, on est assailli par les chauffeurs de taxi. On ne va pas commencer à se faire avoir de bon matin alors on les esquive, à la recherche d’un arrêt ou d’une station de bus. Rien à proximité de la sortie. On demande innocemment à l’un des cinquante chauffeurs autour de nous. A notre grande surprise, il nous répond très gentiment que la station se situe juste en dessous de l’aéroport. Bon ce sont nos premiers échanges en espagnol, on galère tellement que les gens finissent par nous parler en anglais.
Un petit quart d’heure plus tard nous sommes dans le bus en direction du centre de San José. Autour de nous il y a quelques touristes mais aussi beaucoup de locaux. A travers la fenêtre, les paysages sont loin de ceux que l’on trouve sur la recherche Google Images : pas de végétation luxuriante, juste une grosse route bordée par des terres plutôt moches et quelques commerces. Quand on arrive à San José, la ville ne se montre pas non plus sous ses meilleurs atouts. Peu importe, il faut que nous trouvions un restaurant équipé de la wifi pour chercher un endroit où dormir.
On jette notre dévolu sur la pension La Cuesta que nous finirons par trouver presque assez facilement dans le quadrillage des rues de la ville. Au Costa Rica, les adresses ce n’est pas vraiment ça. Disons même que ça n’existe pas. Dans les petits villages comme dans la capitale, un lieu est identifié de cette manière : 100 m au nord puis 50 m à l’est après la Banco National (et là, c’est plutôt facile ! ). Sur le site, la photo de la pension est plutôt bien faite, on se voit déjà loger dans cette demeure en bois coloré aux accents typiques de la culture pré-colombienne. Bon en fait, quand on arrive, ça fait un peu moins classe mais ce n’est pas grave, pour 25$ la nuit petit déjeuner compris, on ne se plaint pas trop. On nous montre notre chambre et nous ne tarderons pas à nous coucher après quelques recherches sur les choses à voir et à faire dans le pays.
Dans cette auberge, nous rencontrons Vincent, un français en voyage au Costa Rica depuis un mois. Son séjour touche à sa fin, dans quatre jours il reprendra le chemin de l’aéroport et reprendra les rennes de sa marque de vêtement BrainHacker. Il est à San José depuis trois jours et nous propose gentiment de nous accompagner pour faire un tour de la ville. Il nous emmène au Mercado Central pour manger un bon repas typique pour quelques euros. Ici, c’est un dédale de petites rues où les commerces s’entremêlent. On y trouve aussi bien des boutiques de souvenirs que des stands de viandes, de poissons ou même de plantes médicinales. Cet endroit nous plait plutôt pas mal et dégage une ambiance très typique et sereine. Après avoir mangé, on continue la balade dans le centre où on crapahute toute l’après-midi.
San José n’est pas une ville à voir absolument. En réalité, il n’y a pas grand-chose à y faire ni a y voir mais se balader au gré des avenues du centre-ville témoigne de l’ambiance de ce pays. Dans l’avenue 7 les vendeurs à la sauvette se mélangent aux marchands de fruits et légumes qui proposent des prix que nous ne retrouverons jamais autre part dans le pays. Nous en profitons aussi pour nous rendre au terminal de bus. Vincent nous a conseillé d’aller à La Fortuna pour grimper le Cerro Chato car on peut se baigner dans son lac de cratère. Nous prenons nos tickets pour le lendemain à 11h. Nous terminerons la journée autour d’un plat que nous cuisinerons tous les trois à l’auberge et d’une bouteille de vin rouge chilien. La journée aura été très bonne.
Vincent nous accompagne à la gare et attend avec nous que notre bus arrive. Nous disons au revoir à cette première belle rencontre. Il va falloir s’habituer à dire au revoir aux nouveaux amis que nous nous faisons. Notre bus part à midi et met trois heures pour relier La Fortuna.
La Fortuna : gringo power !
On s’installe dans notre chambre puis partons à la recherche de renseignement sur le Cerro Chato et la façon dont on peut y aller. Au guichet d’un tour opérateur, une femme bien trop occupée accepte quand même de nous donner des informations et répondre à nos questions un peu chiantes. On a l’impression qu’ici à la Fortuna, on ne peut rien faire sans tour opérateur. Or, les tours sont chers et ne nous conviennent pas. Nous préférons rester hors de ce genre d’activités et nous débrouiller par nous-même. Un autre français arrive au guichet et en profite pour se renseigner aussi. Nos informations en poche, nous faisons donc connaissance avec Adrien autour d’une bière et d’une assiette de nachos bien trop chère.
Située dans la région du Guanacaste, et au pied du volcan Arenal, La Fortuna n’est pas un bled qui nous plait. Pour faire simple c’est une station touristique où il n’y a aucun local à part au service de quelques restaurants ou d’agences touristiques. On aimerait partir vite mais il se trouve que nous sommes en pleine « semana santa » et que tout le pays et les américains sont en vacances. La semaine sainte en gros ça veut dire que tout est plein et qu’il faut s’y prendre à l’avance pour booker ses chambres. Bref, nous resterons deux nuits ici.
La dame de l’agence de voyage nous avait dit de compter environ 60$ à deux pour monter au Chato. Notre mission aujourd’hui est donc de réduire un maximum les frais de cette randonnée. Au lieu donc de prendre un taxi à 10$ pour rejoindre le départ du chemin de rando, nous décidons de parcourir les 6km de route à pieds, même si ce n’est pas recommandé. A peine avons-nous commencé qu’une voiture s’arrête à notre niveau et nous propose de nous monter. On décline poliment. Quelques kilomètres plus loin, alors que la route commence à être vallonnée, un pick-up s’arrête et nous fait signe de monter à l’arrière. Cette fois on ne se fait pas prier et nous sautons dans le coffre. Il nous dépose au début de la rando. Gracias señor ! Ici, on peut aussi choisir d’aller aux cascades de la Fortuna, qui, parait-il, sont plutôt sympathiques. Vu le monde qui attend sur les bancs, on veut bien le croire mais nous verrons pour nous y baigner au retour si nous avons le temps.
Le chemin de la randonnée commence assez facilement. Ça monte un peu mais les dalles au sol rendent la marche facile. Durant une demi-heure, la marche de présente aucune véritable difficulté. C’est après que ça se complique. On arrive face à un mur de gadoue bosselée, et à partir de ce moment-là, les 3h d’ascension ne seront plus vraiment une partie de plaisir ! Les chemins seront toujours plus boueux et accidentés les uns que les autres, sans compter la pente qui rend l’exercice on ne peut plus sportif. On s’enfonce dans la forêt humide, la boue est partout, on s’agrippe aux arbres et aux lianes pour ne pas tomber. Je range l’appareil photo car cela devient vraiment difficile pour moi. Les racines et les rochers forment des marches parfois hautes de 50cm !
Alors qu’Adrien et Arnaud semblent bien gérer l’exercice, je peine derrière à monter et à ne pas tomber. Lorsque les marches qui deviennent de plus en plus dures à gravir, sont plus hautes que mes jambes, je dois user de stratagèmes pour réussir à les dépasser.
On arrive finalement au sommet. Nos affaires sont trempées de sueur tellement l’air est humide et l’effort intense. Du haut d’un promontoire nous apercevons le lac en contrebas. Le temps est nuageux mais la vue n’est pas si mal.
On marche sur le tour du sommet (encore plus boueux que le reste !) puis on reprend la marche en descente cette fois-ci, vers la lagune. On arrive au lac où un groupe de 40 américains prend sa pause déjeuner sur une avancée de terre d’environ 20m carré. Autant vous dire qu’on n’a pas vraiment envie de se trouver un coin au même endroit pour manger. On retourne un peu dans la forêt aux abords de l’eau pour pouvoir déguster notre pique-nique de rois. Les garçons vont ensuite piquer une tête alors que moi, j’ai froid. Un coati pas farouche tente de trouver quelques denrées américaines, je m’amuse à le prendre en photo.
Après une bonne pause, nous refaisons nos sacs et reprenons le chemin inverse vers La Fortuna. En descente le chemin est moins physique mais reste difficile. Nos chaussures glissent et il faut souvent se mettre sur les fesses et utiliser nos mains pour descendre. On rejoint l’entrée du parc sans problème, les cascades sont fermées, nous avons mis presque 5h pour cette « balade ». Il nous reste maintenant la portion de 6km à faire avant de retrouver notre lit. On tente de faire du stop mais personne ne s’arrête. On termine le trajet à la frontale et vers 19h nous sommes de retour à l’auberge. Epuisés, sales et moites, après une bonne douche nous ne faisons pas long feu.
Se rendre de San José à La Fortuna ?
Au Terminal 7-9 de San josé (avenidad 7 calle 8) vous trouverez des bus directs pour La Fortuna pour environ 2000 colonès.
Que faire ?
- Grimper le Cerro Chato :12$ /personne.
- Se baigner dans les chutes de La Fortuna : 12$ / personnes
- Aller à l’observatoire du volcan Arenal (qui ne se découvre quasiment jamais)
- Aller faire un tour dans les « hot springs » sources chaude payantes ou gratuites qui entourent la ville
- Un peu plus loin le Rio Celeste connu pour sa cascade et son eau turquoise est recommandé mais difficile d’accès par ses propres moyens.
Où dormir ?
Hostel La Amistad : grand dortoir sans lit superposé, propre, cuisine et hammac à disposition.
On vous le conseille. 11$ / personne en dortoir
Le lendemain, nous quittons La Fortuna pour rejoindre Monteverde. D’autres voyageurs semblent avoir trouvé une place dans des hébergements là-bas, nous tentons donc aussi notre chance. Monteverde se situe dans les montagnes du Guanacaste et n’est pas très facile d’accès. Nous avons donc booké un transport qui nous fait prendre un minibus puis un bateau puis un autre minibus pour 20$ par personne. Il parait que la route est jolie et cette solution nous fait rejoindre le village en 3h au lieu des 8h annoncées pour le trajet en bus local.
Monteverde : au cœur de la cloud forest
Monteverde se situe au cœur des montagnes du Guanacaste, près du Volcan Arenal. Le coin est connu pour sa « cloud forest » emblématique, ou l’on peut y apprécier une faune et une flore très diversifiée. L’endroit est aussi connu des touristes pour ses activités à sensations : balades sur les ponts suspendus, et surtout zip line dans la canopée.
Après une nuit de sommeil comme-ci comme ça, nous décidons, comme souvent, d’y aller tranquille. Aujourd’hui, nous irons découvrir la cloud Forest de Santa Elena. Toute proche de celle de Monteverde, il parait qu’il y a moins de touristes et qu’elle coûte moins cher.
La balade dans cette réserve est très agréable. Le chemin est très balisé ce qui permet de se concentrer seulement sur la végétation épaisse qui nous entoure. On cherche les animaux. Sur 3,5 km, on ne croise que des insectes mais par contre on entend bien qu’il y a plein d’autres animaux qui se cachent dans les arbres. Nous restons silencieux, l’endroit est paisible et calme.
Nous quittons la réserve plutôt satisfaits de ces deux heures passées dans cette belle forêt. Nous n’aurons pas vu d’animaux mais tant pis, ça nous a fait du bien. Nous devions repartir le lendemain de Monteverde mais en l’absence de plans pour la suite, nous conservons notre chambre pour une troisième nuit afin de pouvoir décider de la suite du périple.
Se rendre de la Fortuna à Monteverde, 2 solutions :
- Le bus local qui met 8h par des routes plutôt pourries et qui contourne le lac mais qui n’est vraiment pas cher (environ 5$)
- l’option « Jeep-boat-jeep » qui traverse le lac et vous emmène à destination en 3h pour 20$. La route vaut le coût, pour une fois nous avons préféré cette option-là.
Où dormir ?
A Monteverde nous avons dormi à La Casa Tranquillo, petite cabane plutôt sympa avec un étage. La nuit en chambre privée coûte 22$ avec le petit déjeuner très bon offert (fruits frais + pinto + gateau à la banane et café)
Que faire à Monteverde ?
- la cloud Forest de Santa Elena (12$ + 4$ de minibus A/R) ou de Monteverde,
- Hanging bridge (environ 30$)
- Night walk (environ 22$)
- Zip Line (50$) on vous conseille 100% aventura, nous en avons eu de très bon échos.
Après une bonne journée de réflexion nous avons choisi de partir à Playa Samara sur la côte pacifique, dans la péninsule de Nicoya. Des voyageurs nous ont dit que c’était un lieu très sympa contrairement au plus connus Tamarindo, repaire de surfeurs et de touristes américains. Nous avons eu notre dose à La Fortuna et préférons donc rejoindre un lieu plus tranquille. Nous nous levons donc à 3h du matin, pour prendre un bus local au départ de Monteverde à 4h20 (pile à l’heure). Le bus nous trimbale à travers les chemins cahoteux des montagnes et nous dépose à La Irma ou nous attendrons deux heures notre deuxième bus pour Nicoya. A Nicoya nous montons presque directement dans un bus pour Samara. Sur la route on commence à apercevoir l’océan pacifique. Quand on descend du bus, il fait chaud, très chaud !
Notre sentiment sur le Costa Rica après ces premiers jours de voyage reste partagé. Les prix sont chers, il y a énormément de touristes et nous avons un peu l’impression de ne pas pouvoir sortir de ces flux de tourisme de masse. La semaine sainte y est certes pour quelque chose mais quand-même, nous nous rendons bien compte qu’il est difficile de faire certaines choses lorsque l’on choisit de voyager sans tour opérateur et sans navette spéciale touristes (les shuttles). De plus, l’image d’un tourisme vert et éco-responsable résonne, pour l’instant, plus comme un appel marketing du tourisme de masse américain que comme une réel philosophie pour le pays. Pour l’instant ce que nous avons vu ne nous a pas spécialement émerveillés non plus : pas d’animaux et très peu (voire pas) d’explications sur la végétation sont disponibles sans guide (reste à voir si c’est plus fourni avec un guide…)
Pour continuer la lecture :
- Lire nos autres carnets de voyage
- Jetez un œil à nos articles pour préparer votre voyage
- Explorez nos budgets par pays
Salut les jeunes,
C’est très complet et les photos sont toujours très belles…la suite sera peut-être plus favorable pour le Costa Rica ?
Bises
j’adore la bande son de l forêt !!
Merci, je sais pas si on entend vraiment bien ou si on se rend vraiment bien compte de tous les bruits qui nous entourait… C’était fou
Forcément, j’ai souffert pour toi à la lecture de ton ascension boueuse !! On s’y croirait, comme d’habitude ! Encore un beau récit .. j’attends la suite avec impatience, ainsi que nos échanges en direct qui me rassure considérablement !
trop top les commentaires…… moi j’ai mal aux pieds pour vous. encore de belles photos !!!!!
gros bisous
Wow, c’est marrant comme on ne vit pas notre séjour de la même façon ! C’est vraiment drôle de comparer nos points de vue, j’aime beaucoup.
C’est vrai que la Fortuna c’est un peu un village de touristes, mais beaucoup moins que Tortuguero, l’étape qui lui a précédé dans mon itinéraire. C’est peut-être pour ça que je l’ai plus apprécié qui vous. Et c’est vrai qu’au Costa Rica, c’est dur de faire les choses par soit même… Enfin pas tant que ça. Il faut apprendre à déceler le vrai du faux dans les informations que les locaux nous donnent. Il m’est arrivé qu’on m’assure qu’un trajet allait me prendre 8h en bus public alors qu’il m’a en réalité pris la moitié, ou qu’il me faille absolument un taxi pour aller à mon hôtel alors qu’il était à 1km à pieds. Je me suis bien faite avoir quelques fois, mais maintenant je sais que tout est faisable par soit même, si on en a le courage. Comme votre rando au Cerro Chato par exemple. Je l’ai faite aussi, et j’ai utilisé la même technique pour la balade au Rio Céleste (rivière turquoise) : marche / stop jusqu’à l’entrée du parc, très safe et finalement très simple :).
Je vais continuer à lire vos carnets sur ce pays, j’adore revivre mes visites à travers vos yeux.
Merci pour ton Retour Julie 🙂
Effectivement, d’un endorit touristique à un autre, la perception est bien différente… Pour moi la Fortuna n’avait vraiment rien d’authentique comparé à d’autres endroits qui peuvent l’être malgré tout mais effectivement, Tortugero, nous ne connaissons pas ^^ Pour le rio Celeste, nous avosn été découragé par les explications d’une nana qui nous a renseigné, dommage, j’aurais bien aimé le voir aussi parce qu’auu final, le cerro chato, j’ai souffert et j »ai trouvé que tout ces efforts n’en valait finalement pas tant la peine, avec le recul. ça reste aujourd’hui, après 5 mois de voyage et de nombreux treks, la marche la plus difficile que j’ai fait et l’endroit le moins intéressant à voir au bout du compte…
Ah ça c’est vrai, ça n’a rien d’authentique la Fortuna, et il y a un peu trop de rabatteurs au mètre carré pour moi. Si on compare la Fortuna à Cahuita… Cahuita est deux-cent fois plus authentique, et donc deux-cent fois plus agréable à vivre. Mais après avoir vu Tortuguero, entièrement façonnée pour et par le tourisme, plus rien ne pouvait me choquer.
J’ai eu la chance de gravir le Cerro Chato sous le soleil, ce qui rendait son ascension beaucoup moins difficile (des amis l’avaient fait la veille sous la pluie, leur récit me donnait des sueurs froides !). Nous l’avons faite en à peine 1h30, contre les 2h30 en moyenne qu’on nous avait annoncées. Il y avait du vent aussi ce jour-là, alors la vue sur le lac depuis l’observatoire se dégageait facilement, et c’était un très beau spectacle. Comme quoi, apprécier une étape relève simplement d’une question de chance parfois. Je dois aussi avouer que voir le cratère d’un volcan était un rêve pour moi, ça aide. A force de voir tellement de belles choses, votre sens critique s’affute, c’est normal.
Commentaires très intéressants, merci! À vous lire, je suppose que la randonnée dont il est question ici est plus ou moins adaptée pour de petites jambes, enfin moyennes (9 et 11 ans).
Bonjour Amélia !
Oui, la randonnée, ou plutôt la balade dans la forêt de Santa Elena est tout à fait accessible aux enfants : le chemin est pavé et plutôt plat : absolument aucune difficulté !
Bon voyage au Costa Rica !