Aujourd’hui, j’ai eu envie de vous écrire un article un peu différent à propos de la photographie en voyage. En fait, il y a peu, j’ai acheté un nouvel appareil photo. Depuis 3 ans de nomadisme, c’est le deuxième que j’achète, mais le troisième que j’emmène sur les routes. Ça fait beaucoup hein ? En fait, voyager demande constamment des ajustements et la photo n’échappe pas à cela. Là, je crois avoir trouvé le compromis qui me convient le mieux alors j’ai voulu poser tout cela sur papier et vous partager mon expérience, car, qui sait, peut-être sera-t-elle utile à certains d’entre vous qui vous demandez quel appareil photo choisir pour voyager.
D’ailleurs, il est presque impossible de vraiment répondre à cette question. Car le choix d’un appareil photo de voyage ne se fait pas seulement sur ses prouesses techniques. C’est aussi un savant équilibre entre le poids, l’encombrement, le besoin que l’on en a, la pratique que l’on en fait et bien entendu, les caractéristiques techniques que l’on souhaite trouver.
Dans cet article, je ne vais pas vraiment vous parler des caractéristiques techniques. En effet, ce sujet mérite à lui tout seul un gros article et le web regorge déjà de choses écrites par des personnes qui s’y connaissent beaucoup plus que moi. En fait, je vais plutôt vous expliquer mon cheminement depuis 3 ans de voyages et de photographies et vous expliquer les choix que j’ai fait et pourquoi j’en suis revenue. À travers ce récit chronologique, j’espère en aider certains à se décider sur le type d’appareil qui sera le mieux adapté à leurs besoins.
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Quel appareil photo choisir pour mon voyage à venir ?
Tout a donc commencé en 2015, pendant les préparatifs du grand voyage qui était prévu à partir de mars 2016. À cette époque, je ne faisais pas vraiment de photos. Et pourtant là, en sachant que j’allais partir en voyage, j’ai eu envie de m’y mettre, car je n’envisageais pas de ne pas prendre de photos de voyage. Les souvenirs, c’est précieux. J’ai donc commencé à me renseigner sur la photographie pour les débutants et j’y suis allée à fond. À l’époque, Arnaud avait un vieux reflex Nikon qu’il n’utilisait jamais, j’ai commencé à m’entrainer en prenant des photos de mon chat à l’appartement avec cet appareil. Puis très vite, j’ai voulu avoir mon propre appareil photo de voyage. J’ai donc fouiné sur le net à la recherche de la perle rare.
Mes critères à ce moment étaient les suivants :
- Pas trop d’encombrement
- Possibilité de prendre des photos en semi-automatique et manuel (appareil photo amateur)
- Polyvalence de l’objectif
- Pas trop cher (moins de 700 €)
À ce moment-là, les appareils photo hybrides arrivaient à peine sur le marché. Il y avait quelques marques qui en proposaient, mais on en parlait encore pas trop, bien que les experts les trouvaient assez prometteurs. J’ai jeté mon dévolu sur l’hybride entrée de gamme de Sony le A5000, le Nex nouvelle génération. L’appareil était vendu avec un objectif de kit 16-50mm f3.5 — 6,3.
Utilisation de mon appareil photo en tour du monde
Cet appareil m’a permis de me familiariser avec les réglages manuels. À mon sens, c’est un bon appareil photo pour débutants qui souhaitent apprendre la photo. À Noël, j’avais envie d’un nouvel objectif, plus lumineux. C’est là que j’ai découvert le véritable inconvénient des hybrides : le prix des objectifs. Clairement, je n’avais pas les moyens d’acheter un objectif plus cher que mon appareil. J’ai donc cherché un système D et finalement je suis tombé sur cette solution : trouver un vieil objectif Minolta MD ROKKOR, monté sur la bonne bague d’adaptation. Ce montage-là me coûtait moins de 100 € et me permettait d’avoir une optique fixe 50mm f1.7.
Je suis donc partie en voyage avec ça dans mon sac :
- Mon appareil hybride Sony A5000
- L’objectif de kit 16-50mm pour la plupart du temps
- La focale fixe Minolta
Au fur et à mesure du voyage, voici les limites que j’ai trouvées à mon équipement :
- Frustration de ne pas pouvoir photographier correctement au-delà de 50 mm. C’est-à-dire que je ne pouvais pas photographier d’animaux ni de choses un peu éloignées. Ce que je voyais nettement à l’œil nu n’apparaissait pas sur mes photos. D’autant qu’on a commencé notre voyage au Costa Rica, j’avais donc très envie de pouvoir prendre des animaux en photos…
- La focale fixe fait de belles photos, mais n’a pas d’autofocus et je passe donc un temps fou à prendre les photos. Ce type de focale n’étant pas adaptée aux paysages et vu que je ne faisais pas de portrait, encore une fois, c’était frustrant.
- Manque de recul : avec le montage de la focale fixe, je me retrouve avec un recul équivalent à 80 mm. Je suis donc souvent trop proche des scènes que je veux photographier. Ça aurait pu être pratique pour les animaux, mais en l’absence d’autofocus, c’était mission impossible.
- Je n’ose pas changer mes objectifs pendant la journée ou ne souhaite pas être trop chargée.
La plus grosse limite à mon sens était la frustration de ne pas pouvoir zoomer plus. Quand nous sommes revenus en France pour les fêtes de Noël fin 2016, j’ai donc demandé à Arnaud d’embarquer son vieux reflex Nikon D40 en Asie. En effet, je n’avais toujours pas les moyens d’acheter un objectif avec un meilleur zoom pour mon Sony. Avec le Nikon, on s’équipait donc d’un objectif 18-200 en plus, de quoi limiter ma frustration.
A mon avis, les appareils photos hybrides sont vraiment un bon choix si vous cherchez un appareil photo de voyage léger et peu encombrant et que vous souhaitez (apprendre à) faire vos réglages manuels. Ce sont des appareils très polyvalents car vous pouvez changer les objectifs en fonction de vos besoins. Le sony A5000 montre quelques faiblesses, la plus grosse pour moi : il n’y a pas de viseur. Du coup, si vous souhaitez vous orienter vers ce modèle là, je vous conseille plutôt le Sony A6000 en premier prix ou le Sony A6500 si vous avez plus de budget.
Deux appareils photo pour voyager : un hybride et un reflex
En arrivant en Asie, j’ai donc pas mal bombardé avec le Nikon. Je n’étais plus autant frustrée, je pouvais photographier loin, MAIS (parce qu’il y a toujours un mais), la qualité des photos du Nikon n’était pas au niveau de celles du Sony.
Il faut savoir que depuis le début, je shoote au format RAW, ce qui me permet de traiter les photos. J’aime beaucoup cette étape du travail au point qu’aujourd’hui encore, j’ai dû mal à apprécier une photo sortie brute de l’appareil photo. Je la trouve toujours un peu fade, jamais vraiment représentative de ce que j’ai vu. Grâce au RAW, je peux rendre justice à ma scène en vous la présentant au plus proche de ce que j’ai vécu.
Bref, du coup, avec le Nikon, je pouvais traiter les formats RAW, mais l’appareil photo ayant presque 10 ans, les photos n’étaient pas en haute définition. Pour publier sur le blog, ce n’est pas un problème. Pour imprimer au format photo, pas vraiment non plus, mais je trouvais que ça se ressentait sur les images en général.
De plus, le Nikon était très lourd. Presque 2 kg à lui tout seul. Ça pèse dans le sac, mais ça pèse aussi sur l’épaule quand on le porte en bandoulière. Moi qui adorais me promener légère comme le vent, ce n’était pas gagné, surtout qu’on prenait en général les deux appareils, car les objectifs étaient complémentaires. Je shootais les paysages avec le Sony et les scènes de rue ou les détails avec le Nikon. En Asie, Arnaud a fait aussi des photos, on se partageait donc le travail, mais il m’est arrivé de prendre les deux appareils en bandoulière quand même.
Et puis un jour, j’ai fait taper l’objectif zoom du Sony contre un rocher près d’une cascade. Dommage, l’objectif était mort. Impossible de l’ouvrir et donc inutilisable. J’ai donc commandé en urgence un objectif. Pour ne pas amputer trop mon budget, j’ai opté pour un grand-angle sigma à 200 €. J’ai choisi le grand-angle, car j’aime beaucoup faire des photos de paysage. Et qu’à choisir, je préfère me rapprocher pour réduire mon cadre, que de ne pas avoir assez de recul. J’ai donc reçu quelques semaines plus tard l’objectif Sigma 19mm f2.8, une deuxième focale fixe donc. Je dois dire que je me suis bien amusée avec ce nouvel objectif. La qualité est au top, la luminosité aussi, bref j’adore.
Si vous avez bien suivi, à la fin de notre voyage, j’avais donc mon Sony A5000 équipé d’une focale fixe toute manuelle 50 mm et d’une focale fixe autofocus et manuelle 19mm. À cela s’ajoutent toujours le Nikon et le zoom 18-200. Finalement, l’ensemble était assez satisfaisant : les photos de paysages étaient de très bonne qualité et on pouvait zoomer et prendre des scènes plus intimes grâce au Nikon. Cet équipement n’est pas exempt de défauts, mais ça faisait bien le job, comme vous pourrez le constater en lisant les carnets de voyage en Indonésie, en Nouvelle-Zélande, à Samoa.
Changer d’objectifs pendant la journée ne me convient pas !
En rentrant, j’ai un peu arrêté de prendre des photos, tout simplement parce que mon quotidien ne m’inspirait pas. J’en ai fait à quelques reprises, mais sans jamais être pleinement satisfaite. Après 6 mois sédentaires en France, on a repris la route, d’abord en France puis on est reparti à l’étranger avec un voyage en Iran, puis en Thaïlande avant d’arriver en Malaisie. Pendant cette période, j’ai repris des photos. Nous ne voulions plus nous trimballer le Nikon de deux kilos donc petit à petit, on l’a laissé au placard. Je n’avais donc avec moi que mes deux focales fixes. Et dans les faits, je n’en utilisais qu’une seule : le 19 mm.
J’ai donc retrouvé la frustration des débuts, car même si j’emportais les deux focales, je ne les changeais jamais au cours de la journée. Je me retrouvais donc, avant de partir en balade, à penser à l’objectif qui me serait le plus utile : le grand-angle ou le 50 mm sans autofocus ? Mon choix se portait quasiment tout le temps sur le grand-angle, car plus pratique, plus rapide et mieux maitrisé. J’ai donc pris l’intégralité des photos de l’Iran avec cet objectif ou avec mon portable dont je me servais pour les portraits et les sujets proches.
Prendre son smartphone pour faire des photos en voyage ?
Les smartphones ne sont pas à sous-estimer. Finalement, mon téléphone (Oppo R9s acheté en Asie) faisait de belles photos et avec quelques retouches, c’était franchement pas mal. Le seul hic : elles ne sont pas en haute définition, pour une éventuelle impression, c’est donc moyen. Mais bon ce n’était qu’un détail, car mon utilisation principale était l’illustration de mes articles ou pour poster sur Instagram et Facebook. OK, elles sont moins détaillées que celles de l’APN, mais ça reste très correct.
N. B. Aujourd’hui, certains smartphones (genre iPhone) font des photos en HD c’est-à-dire à 300 dpi.
Appareil photo de voyage : tirer des leçons de l’expérience pour faire le bon choix
En arrivant en Malaisie, j’ai assez peu utilisé mon appareil photo. Je n’aime pas avoir un sac lourd à porter et même si j’aime prendre des photos, au quotidien, je pensais d’abord à mon confort avant de penser à mes photos. En revanche, j’ai quasiment toujours mon téléphone avec moi donc quand je vois une scène qui me plait, je n’hésite pas à le sortir pour immortaliser l’instant.
Le truc c’est que j’aime vraiment faire des photos. Je ne fais pas des photos « juste comme ça », j’aime qu’elles soient belles, qu’elles reflètent l’instant et mon regard s’étant bien aiguisé, je me dis souvent « tiens là ça ferait une chouette photo ». Naturellement, j’ai donc voulu trouver mon équipement idéal, celui qui me conviendrait vraiment en prenant en compte ces critères :
- J’adore faire des photos
- Mais je n’aime vraiment pas être encombrée
- J’ai envie de trouver la polyvalence sans négliger la qualité
- J’aimerais avoir un viseur
Deux solutions s’offraient alors à moi : acheter un portable plus performant en photo ou trouver un autre appareil plus polyvalent et moins lourd.
Dans mon cas, l’option smartphone était vraiment envisageable, car aujourd’hui, l’offre des téléphones portables est tellement de qualité qu’elle a fait disparaitre tout le marché (ou presque) des appareils photo compacts peu chers. J’ai pu voir en action un Huawei P20 dont l’appareil photo a été conçu en partenariat avec Leica et honnêtement, c’est bluffant. Les photos sont superbes. J’aurais bien craqué pour le Huawei P20 ou P30, mais le budget me freinait et puis l’annonce de la fin de partenariat entre Huawei et Google m’a fait un peu peur. En poussant mes recherches, j’avais finalement trouvé le Google Pixel qui se positionne comme l’un des meilleurs (si ce n’est le meilleur) photophone du marché. Son prix : entre 600 et 800 €. C’est là que le bât blesse. Je n’ai toujours pas cet argent.
D’un autre côté, au cours de mes recherches, je suis aussi tombée sur la gamme des compacts experts. Ces petits appareils sont en fait très puissants, permettent des réglages manuels, mais on ne peut pas changer l’objectif. Là où il devenait encore plus intéressant, c’est que financièrement, ça rentrait dans mon budget (moins de 500 €). J’ai donc creusé cette piste-là.
Quel appareil photo compact choisir pour voyager ?
Et comme je suis une inconditionnelle de Sony, j’ai fini par trouver le compact expert Sony RX100 Mark III. J’ai regardé pas mal de vidéos qui le comparait notamment aux smartphones que j’avais sélectionnés avant. Et il n’y avait pas photo, la qualité d’image du Sony était au moins équivalente, voire meilleure. J’avais donc face à moi un appareil photo :
- Léger : 270 g
- Lumineux : il ouvre à 1,8 ou 2,8 lorsque le zoom est sorti
- Qui me permet de shooter en RAW
- Avec un viseur
- Que je peux utiliser en tout manuel
- Dont la qualité photo et vidéo est HD
Au niveau de la polyvalence du zoom on est sur du 24-70mm, j’ai perdu en grand-angle (mais au pire, mon portable peut prendre le relais) et je ne peux pas trop trop zoomer, mais je m’en fiche, car 24 mm pour du paysage, ça le fait et puis cette plage focale permet de prendre pas mal de scènes différentes.
Vous l’avez donc compris, j’ai choisi d’investir dans le Sony RX plutôt que dans un nouveau téléphone, car ça me paraissait être le meilleur rapport qualité/prix.
J’ai eu l’occasion de tester l’appareil à Penang et j’étais ravie. J’ai retrouvé le plaisir de prendre des photos à tout moment et je peux transporter l’appareil avec moi sans me poser de question tellement il est léger. Les photos sont belles, je ne galère pas avec la prise en main, car je connais bien l’environnement de Sony. Bref, je crois avoir trouvé mon équipement idéal. Du reste, je continue de prendre quelques clichés avec mon smartphone pour que ça soit plus facile à partager sur Insta.
Le marché des appareils compact expert propose deux marques majeures : Sony et Panasonic. Pour aller plus loin sur cette gamme d’appareil photo, je vous conseille vivement le comparatif compact expert fait par Novo Monde. C’est très complet et vous aurez un meilleur aperçu des prouesses techniques des différents appareils de ce type.
Mes conseils pour trouver un appareil photo pour voyager
Si vous voulez mon avis, je ne peux que vous conseiller chaudement d’établir la liste de vos besoins clairement. On a souvent tendance à lire les caractéristiques et à se baser là-dessus pour choisir le meilleur appareil photo pour voyager, en fonction de son budget. Même si cette étape est importante, je pense qu’il faut savoir, avant toute chose ce dont vous avez envie en termes de praticité.
Posez-vous ces questions :
- Quel est mon niveau en photo ?
- Ai-je envie d’améliorer ma pratique (d’utiliser des réglages manuels) ?
- Ai-je envie d’un équipement vraiment léger ou suis-je d’accord pour avoir un sac avec moi ?
- Quel type de photo j’aime faire ?
- Etc.
C’est certain que tant que vous n’êtes pas parti en voyage avec un certain type d’appareil photo, vous ne pourrez pas savoir si ça va vous déranger de changer les objectifs pendant la journée, ou de porter votre appareil photo en bandoulière ou dans un sac à dos.
De manière générale, ne vous orientez pas vers un compact qui n’est pas expert. Partez avec un smartphone, ça reviendra au même, ce sera peut-être même plus satisfaisant. La question de l’appareil photo numérique se pose vraiment à partir du moment où l’on souhaite faire plus que prendre des photos « comme ça ».
Ensuite, oubliez les appareils bridges qui sont lourds, encombrants et ne font plus le poids face à l’offre hybride ou compact experts.
Orientez-vous vers un reflex si vous avez vraiment envie de vous mettre à la photo en changeant les objectifs et que vous cherchez la polyvalence en premiers lieux. J’aime beaucoup les hybrides qui permettent d’avoir un bon compromis entre taille, poids et polyvalence, mais renseignez-vous sur le prix des objectifs avant d’acheter votre boitier. C’est souvent là que ça fait mal, contrairement au marché des reflex dont les objectifs sont plus nombreux et surtout moins chers.
Si vous avez le budget (1500 € ou +), les hybrides sont un très bon choix d’appareils photo pour voyager.
Enfin, un appareil photo compact expert sera parfait si vous voulez vraiment privilégier la facilité d’utilisation (dans le sens où vous n’avez pas besoin de changer d’objectifs) et le poids sans lésiner sur la qualité des images.
Si vous voulez aller plus loin, mieux comprendre les caractéristiques techniques et choper d’autres bons conseils pour choisir le meilleur appareil photo pour vos voyages, je vous conseille les comparatifs ultra complets de Benoit du blog Novo-Monde.
J’espère que ce retour d’expérience vous aura été utile et vous permettra d’envisager les choses sous un autre angle. On parle très souvent des appareils photos reflex/hybrides comme les seuls solutions valides pour vraiment s’améliorer en photo. Je ne reviens pas sur la qualité de ces solutions néanmoins, elles ne sont pas adaptées à tous les besoins ni à tous les budgets. On peut faire de très belles photos avec un smartphone ou un compact, c’est surtout le photographes qui fait les bonnes photos, pas tant les spécificités techniques du boitier (même si ça aide, on est d’accord).
Quand on voyage, on veut surtout avoir de beaux souvenirs, qu’on pourra réutiliser en ligne ou imprimer, qui nous rappellent les bons moments que nous avons vécus. Un bon appareil photo de voyage est donc surtout l’appareil photo qui répondra avant tout à vos besoins et à votre pratique.
Maintenant, dites moi dans les commentaires : vous êtes plutôt de la team smartphone sans prise de tête ou appareil photo ? Et si vous avez un appareil photo, vous avez opté pour quel type de boitier ?
Bien, on saura tout….Et pour les portraits !
Toujours heureuse de te lire
Gros bisous à tous les deux
Grand merci pour ce retour, je suis en train de comparer tout le marché, c’est compliqué de choisir entre compact et hybride, mais vous confirmez mes craintes en ce qui concerne les objectifs, l’encombrement… Cela m’aide énormément dans mon choix.
bonne continuation 🙂
emna
Merci pour ce partage.
Je suis justement dans la réflexion. Je reviens de loin puisqu’il y a quelques années, je partais en voyage avec un reflex (Ninon D610) et un « hybride » (Leica M) avec plusieurs optiques pour chacun des boîtiers. J’avais un gros sac à dos ! J’ai abandonné le reflex car trop encombrant, trop voyant et je n’en ai en plus l’utilité. Les hybrides ont bien évolué et je trouve mon bonheur sur des boîtiers plus compacte. J’abandonne donc mon reflex avec mes packs de zooms et privilégie les focales fixe. J’ai voulu renouveler et gagner en automatisme (autofocus qui est absent sur un leica M) pour gagner flexibilité en voyage. J’ai donc laissé le M au placard à son tour. Je me suis tourné vers Fujifilm. Le nouveau X100V m’a séduit ! Je suis passé sur un APSC avec une focale fixe (équivalent 35mm) et un super autofocus ! Je voyage comme ça depuis 1an (en France uniquement cette année…..). Fuji vient d’annoncer un nouveau XE4 ! C’est mon x100V sur lequel je peux changer d’objectif.
Je pense franchir le pas et voyager avec deux boîtiers identiques en caractéristique électronique mais avec deux focales différentes car même le changement d’optiques sur les routes me dérange. Affaire à suivre mais je pense que ça peut être une bonne options. Deux appareils plutôt compactes et légers avec deux focales fixe. Le lux quoi !
Bon voyage !
Pierre